AeSR - modélisations systémiques: Ce qu'est l'AeSR ?

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Les grandes écoles de commerce françaises sont entrées dans une spirale infernale

Les grandes écoles de commerce françaises sont entrées dans une spirale infernale qui a toute les caractéristiques d'une bulle.
Hausse des effectifs et des frais de scolarité, explosion des budgets, envolée des salaires du corps professoral, extension des programmes de formation, etc. Les risques d'explosion de cette bulle sont réels : la concurrence se renforce, les ressources financières des écoles se tarissent, les écoles récemment fusionnées perdent du terrain dans les classements.
Les écoles font preuve d'un mimétisme stratégique inquiétant.
Un. paradoxe pour des établissements censés inculquer l'audace et l'originalité à leurs étudiants, managers de demain. Les valeurs mises en avant tournent généralement autour de trois axes : l'international, la recherche et l'excellence. Des caractéristiques très fortement contestables pour l'immense majorité. In fine, il en résulte une offre surabondante et très peu différenciée.
La fuite vers l'excellence fait courir un réel danger aux écoles.
Le thème de « l'excellence » est servi à toutes les sauces par nos grandes écoles, alors que seule une infime minorité, de par leurs moyens, peuvent légitimement le revendiquer et l'assumer financièrement. La stratégie du « tout recherche » est en effet extrêmement coûteuse. Bien d'autres positionnements sont possibles et bien plus pertinents. Et contrairement à certaines croyances, la spécialisation n'est pas antinomique avec une bonne place dans les classements.
Réinventer le modèle économique devient inéluctable.
Avec les technologies numériques, la mission des écoles et le rôle des enseignants sont redéfinis. Cours en ligne ou MOOC, social learning, gamification, classes inversées, etc., autant d'outils qui remettent la pédagogie sur le devant de la scène. Mieux, ils permettent dorénavant la personnalisation de la pédagogie à une échelle de masse. Un virage stratégique qu'il est indispensable de prendre pour les écoles afin de contrer la menace des acteurs online de l'enseignement.
Coordonnée par Philippe Gattet, cette étude de référence sur les écoles de commerce en France a nécessité plusieurs mois d'analyse et d'enquête et a mobilisé toutes les compétences et l'expertise de Xerfi-Precepta.
Cette étude multimédia est composée d'une vidéo et de 3 rapports écrits :
- Une Synthèse Exécutive destinée à stimuler votre réflexion. Elle est concise et percutante, et attire votre attention sur les éléments saillants d'évolution de l'activité. Elle met l'accent sur les facteurs de changement et leurs conséquences stratégiques.
- Le rapport d'Analyse Stratégique vous sensibilise aux enjeux et aux problématiques clés du secteur. Il vous présente l'évolution de la concurrence, décrypte les stratégies des opérateurs et cherche à déterminer les modèles économiques performants.
- Le rapport Intelligence Data vous fournit une information chiffrée, complète et structurée sur le marché, sa dynamique et sur les opérateurs.
Une présentation vidéo, le « video report », découpée en séquences courtes, présente en 20 minutes les conclusions opérationnelles de l'étude. Cette innovation exclusive de Xerfi-Precepta vous permet de prendre aisément connaissance des principales conclusions de l'étude sous une forme pédagogique et vivante. Elle facilite également le partage de connaissance et la stimulation de la réflexion collective en réunion.



ET encore un ranking...


Au PALMARES du Figaro des Ecoles françaises - Les trois parisiennes et l’EM Lyon arrivent en tête du palmarès 2013 marqué par des fusions entre écoles qui bouleversent quelque peu la hiérarchie de la première partie de tableau. 



Université d'Entreprise : objets formant non identifiés ?

De plus en plus de groupes comptent en leur sein une université d’entreprise.

Or, bien que ces structures représentent une part croissante des budgets de formation, elles ne sont pas destinées seulement au développement des compétences ou de l’employabilité.

Elles sont également utilisées comme un outil de fidélisation. Car elles permettraient, par le développement de valeurs d’entreprise et le recours à des partenariats académiques prestigieux, de renforcer le sentiment d’appartenance et l’engagement des salariés.

L’étude menée par Xavier Philippe, professeur à NEOMA Business School, met en exergue des points d'attention importants.

Il démontre par exemple que les salariés qui y participent pensent être repérés comme des talents, des potentiels sur lesquels l’entreprise mise à long terme.

L’université d’entreprise devient le symbole d’une promesse, celle d’une promotion rapide.

Or les entreprises n’ont pas toujours conscience de cet enjeu sous-jacent et ne sont pas forcément en mesure d’y répondre. Les risques de frustration sont donc bien réels.

Télécharger la présentation du travail de Xavier PHILIPPE

IFEAS: Refonte du site web AeSR

IFEAS: Refonte du site web AeSR: L'AeSR est un ensemble d'outils qui aident à mieux écouter, mieux analyser, mieux interagir dans les milieux professionnels et ass...