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Blog pour managers - Suivi des travaux et de l'actualité de Charles-Henri Russon
Pétition en faveur de l'Open Access
Le Professeur Bernard Rentier, Recteur honoraire de notre
Institution et fervent défenseur de l’Open Access (OA), attire
l'attention de la Communauté universitaire dans son ensemble sur le fait
que l'éditeur Elsevier vient de durcir considérablement sa position en
la matière.
Dans les années 2000, Elsevier avait déclaré la guerre à l'OA et ce fut rude. Le Réseau des bibliothèques et le Recteur avaient, à l’époque, affronté les coups bas portés à la politique d’OA de l’Institution ainsi qu'à la communauté universitaire mondiale.
Voyant que les dépôts institutionnels comme ORBi ne lui faisaient pas de tort, Elsevier a assoupli sa politique et l’a limitée à un embargo sur la mise en ligne pure et simple des manuscrits version auteur comme nous la pratiquons dans ORBi. Aujourd’hui, l’éditeur affiche même un chiffre d’affaires de 7,16 milliards d'€ dont 2,16 milliards de bénéfice net. Soit une hausse de 16% !
Toutefois, le succès de l'Open Access grandissant au point de devenir aujourd'hui incontournable (obligatoire pour les fonds de la Communauté Européenne et de plus en plus de fonds de financement de la recherche dans le monde, bientôt également en Fédération WB et en RW), Elsevier, craignant qu'à terme, son « business model » devienne obsolète, fait volte-face et révise sa politique, allant jusqu'à interdire le dépôt des publications dans les dépôts institutionnels.
Bien évidemment, il n'y a pas de base légale à cela et il ne s'agit que d'une intimidation vis-à-vis des chercheurs qui sont, eux, et c'est compréhensible, très craintifs à cet égard et risquent de se laisser influencer.
Une pétition a été lancée par les défenseurs de l’OA afin de contrer la manœuvre d’intimidation d’Elsevier. L’ULg, est à la pointe du combat par l’action constante de notre Recteur Honoraire, de Stevan Harnad, père de l’OA et Docteur Honoris Causa de l’ULg en 2013, et de Paul Thirion, Directeur de notre Réseau des bibliothèques.
Les autoriés universitaires encouragent chacun à signer cette pétition (dont vous trouverez le lien ci-dessous). L'Université de Liège, institution universellement connue comme pionnière de l'OA et pratiquant la politique la plus rigoureuse au monde en matière de dépôt bibliographique connue comme le "Liege Model", doit, dans son ensemble, soutenir l’OA en faisant savoir par la voix de ses chercheurs, mais aussi de tout son personnel et de ses étudiants, qu’elle défend l’accès libre aux résultats de la recherche financée par l’argent public.
https://www.coar-repositories.org/activities/advocacy-leadership/petition-against-elseviers-sharing-policy/
Dans les années 2000, Elsevier avait déclaré la guerre à l'OA et ce fut rude. Le Réseau des bibliothèques et le Recteur avaient, à l’époque, affronté les coups bas portés à la politique d’OA de l’Institution ainsi qu'à la communauté universitaire mondiale.
Voyant que les dépôts institutionnels comme ORBi ne lui faisaient pas de tort, Elsevier a assoupli sa politique et l’a limitée à un embargo sur la mise en ligne pure et simple des manuscrits version auteur comme nous la pratiquons dans ORBi. Aujourd’hui, l’éditeur affiche même un chiffre d’affaires de 7,16 milliards d'€ dont 2,16 milliards de bénéfice net. Soit une hausse de 16% !
Toutefois, le succès de l'Open Access grandissant au point de devenir aujourd'hui incontournable (obligatoire pour les fonds de la Communauté Européenne et de plus en plus de fonds de financement de la recherche dans le monde, bientôt également en Fédération WB et en RW), Elsevier, craignant qu'à terme, son « business model » devienne obsolète, fait volte-face et révise sa politique, allant jusqu'à interdire le dépôt des publications dans les dépôts institutionnels.
Bien évidemment, il n'y a pas de base légale à cela et il ne s'agit que d'une intimidation vis-à-vis des chercheurs qui sont, eux, et c'est compréhensible, très craintifs à cet égard et risquent de se laisser influencer.
Une pétition a été lancée par les défenseurs de l’OA afin de contrer la manœuvre d’intimidation d’Elsevier. L’ULg, est à la pointe du combat par l’action constante de notre Recteur Honoraire, de Stevan Harnad, père de l’OA et Docteur Honoris Causa de l’ULg en 2013, et de Paul Thirion, Directeur de notre Réseau des bibliothèques.
Les autoriés universitaires encouragent chacun à signer cette pétition (dont vous trouverez le lien ci-dessous). L'Université de Liège, institution universellement connue comme pionnière de l'OA et pratiquant la politique la plus rigoureuse au monde en matière de dépôt bibliographique connue comme le "Liege Model", doit, dans son ensemble, soutenir l’OA en faisant savoir par la voix de ses chercheurs, mais aussi de tout son personnel et de ses étudiants, qu’elle défend l’accès libre aux résultats de la recherche financée par l’argent public.
https://www.coar-repositories.org/activities/advocacy-leadership/petition-against-elseviers-sharing-policy/
Les cadres dirigeants restent en moyenne quatre ans à un poste
Les cadres
dirigeants restent en moyenne 4,1 ans à un poste et plus d'un sur cinq
avait choisi la mobilité en 2014, selon un baromètre publié lundi par
Deloitte. L'étude montre que 22 % d'entre eux ont changé de poste ou
d'entreprises en 2014. Ce taux de mobilité, même s'il n'atteint pas les
niveaux enregistrés avant la crise (28 % en 2007) est relativement
stable depuis plusieurs années. Les cadres ayant quitté leur poste ont
dans la même proportion changé d'entreprise ou opté pour une mobilité
interne. Plus les cadres dirigeants sont jeunes et plus ils bougent
indique également l'étude, avec un taux de mobilité de 32 % chez les
moins de 35 ans contre 12 % chez les 55 ans et plus. Les raisons qui les
poussent à changer de poste sont d'abord la possibilité d'avoir de
nouvelles responsabilités (57 %), devant la perspective d'une meilleure
évolution de carrière (40 %), le besoin de changer d'environnement
professionnel (30 %) ou une rémunération plus attractive.
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