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« Le nouveau contexte économique transatlantique qui se profile à la faveur de cet ambitieux accord engendrera d'importants bénéfices pour l'économie du Québec, qui repose largement sur les exportations. Il nous appartient, dès maintenant, de nous positionner auprès des décideurs et des entreprises européennes », a déclaré la première ministre.
La première ministre a pris la parole devant des milieux d'affaires belges et européens lors d'un déjeuner-conférence organisé par la Chambre de commerce Canada-Belgique-Luxembourg et l'European Business & Innovation Centre Network.
Secteurs d'excellence
Elle y a fait la promotion de l'expertise et des secteurs d'excellence québécois ainsi que de la Politique économique du Québec. La première ministre a appelé à un resserrement des relations économiques avec les pays européens.
Plus tôt en journée, elle a participé, en compagnie du ministre Jean-François Lisée, à une table ronde sur les relations économiques et les négociations Canada-Union européenne réunissant des experts et des représentants d'organisations d'affaires européennes et québécoises.
Pauline Marois s'est aussi entretenue avec le Commissaire européen au marché intérieur et aux services, Michel Barnier, de même qu'avec le directeur général du Commerce à la Commission européenne, Jean-Luc Demarty.
La première ministre Pauline Marois reçue par M. Kris Peeters, ministre-président du gouvernement flamand.
(Crédit photo: Gouvernement flamand).
L'Europe constitue le deuxième marché d'exportation du Québec. Depuis dix ans, les exportations de marchandises vers l'Union européenne ont augmenté de 40 %, atteignant 7,5 G$, soit près de 12 % de l'ensemble des exportations du Québec.
Avec l'entrée en vigueur de l'Accord, on estime que le Québec bénéficiera de retombées d'environ 2,2 G$ par année, en termes de PIB, ainsi que de la création de 16 000 emplois.
Politique économique, Priorité emploi
Délégation générale du Québec à Bruxelles