Blog pour managers - Suivi des travaux et de l'actualité de Charles-Henri Russon
Management de la très haute performance - MTHP: GIE, consortiums et partenariats: quelle performan...
Management de la très haute performance - MTHP: GIE, consortiums et partenariats: quelle performan...: Quelle que soit la forme (consortium, GIE, partenariat, etc.) que peut prendre une relation de collaboration interentreprises, et les p...
"Rééquipez vous complètement" pour le management du changement
Renforcez rapidement
et faites reconnaitre simplement
vos compétences en
management du changement...
et faites reconnaitre simplement
vos compétences en
management du changement...
Vous managez des changements, vous êtes cadres,
formateurs, consultants ou chefs de projet : faites reconnaitre votre expertise
en conduite du changement, faites vous certifier IMCM !
Stage de certification IMCM
Paris - les 19, 20 et 21 mars 2014
Séminaire - référentiel - certification : 1400 €
au lieu 1800 € pour toute inscription avant le 1er mars
au lieu 1800 € pour toute inscription avant le 1er mars
La certification IMCM est simple, rapide et vous permet
de refaire le point efficacement sur vos connaissances de base.
Les certifiés IMCM partagent un socle commun de principes
et de compétences. Ils font simplement vérifier ces compétences par un tiers
indépendant.
Le référentiel IMCM
En 390 pages le référentiel IMCM couvre :
- les principales erreurs en conduite du changement
- le rôle, les leviers et les conditions de réussite pour le manager du changement
nous y analysons :
- six dimensions de changement
- douze modes et techniques de conduite de changement
- onze théories, approches ou modélisation de ce concept de changement
> acheter enligne le référentiel séparément
- les principales erreurs en conduite du changement
- le rôle, les leviers et les conditions de réussite pour le manager du changement
nous y analysons :
- six dimensions de changement
- douze modes et techniques de conduite de changement
- onze théories, approches ou modélisation de ce concept de changement
> acheter enligne le référentiel séparément
Rejoindre une communauté de pratique
Être certifier IMCM, c'est aussi rejoindre une communauté
de pratique de managers du changement un peu partout en francophonie.
C'est également avoir accès à un partage de connaissances
et à une info-lettre sur la conduite du changement qui vous permettent sans
cesse d'enrichir vos propres pratiques !
Le séminaire de Paris est animé par Charles-Henri RUSSON,
un des co-fondateurs de la certification IMCM. > profil de
Charles-Henri
Accord sur la garantie régionale pour les infrastructures hospitalières en Wallonie
Depuis 2008, les hôpitaux wallons se sont inscrits dans un vaste plan de modernisation de leurs sites. Ce plan d’investissement s’élève globalement à 1,6 milliard d’euros pour l’ensemble des institutions hospitalières wallonnes à l’horizon 2018. Si ces investissements sont subsidiés par le Fédéral et la Wallonie, les hôpitaux doivent recourir à l’emprunt bancaire afin de préfinancer les travaux.
Le financement fédéral s’élevant à 90 % de l’investissement mais versé aux hôpitaux annuellement durant 33 ans, impose aux institutions de préfinancer ces investissements par emprunt. L’application de ce système a pour conséquence un affaiblissement de la structure bilantaire de l’hôpital et un accroissement de l’endettement. Ainsi, ce mécanisme de financement alternatif des infrastructures hospitalières a pour conséquences de dégrader le rating des institutions.
De plus, la crise économique et financière, ainsi que le resserrement des crédits bancaires, amènent certains hôpitaux à solliciter la Wallonie afin de garantir leurs emprunts, les institutions bancaires en faisant une condition d’octroi. C'est notamment le cas en ce qui concerne la banque européenne d'investissement (BEI).
A ce stade, une institution a déjà sollicité la Région wallonne pour le projet du CHC visant à rassembler 3 implantations sur un seul site (le montant à garantir est de l'ordre de 100 millions d'euros). D’autres projets sont attendus dans les prochains mois.
Tous ces projets ne solliciteront pas une garantie régionale, il convient toutefois d’assurer l’équité de traitement des dossiers et de ne pas limiter la capacité de la Wallonie à un seul dossier tout en convenant d’un volume raisonnable d’emprunts qui pourraient bénéficier du soutien régional.
La volonté est d’aboutir rapidement à une solution concrète et durable afin de soutenir l’ensemble du secteur hospitalier wallon face aux nombreux et importants investissements pour leurs infrastructures. La proposition de la Ministre Eliane Tillieux, validée par le Comité ministériel ce jeudi est une réponse qui pourra être rapidement activée pour le projet du CHC de Liège mais également pour tous les autres projets wallons qui solliciteront la Région.
La proposition est la suivante :
1. Octroi de la garantie régionale directe rémunérée au bénéfice des hôpitaux relevant des compétences de la Région wallonne, qui réalisent des investissements importants dans leurs infrastructures ;
2. Le plafond de garantie s'élève à 125 millions d'euros par an ;
3. Le projet doit être conforme au plan hospitalier wallon et à la règlementation en matière de normes et d'octroi de subventions destinées aux infrastructures et équipements hospitaliers ;
4. L’octroi de la garantie n’est pas inconditionnel. La garantie ne peut être octroyée que dans la mesure où il ressort de prévisions prudentes que les chances de succès financier du projet sont réelles. Ceci implique dès lors une analyse financière préalable, indépendante (plan d’entreprise, comptabilité, respect de ratio comptables…) et un suivi du plan financier de l’institution tout au long de la période garantie qui démontrent la capacité de remboursement de l’institution hospitalière par l'administration wallonne de la santé en associant la SRIW et la CIF pour leur expertise financière.
Pour la Ministre Eliane TILLIEUX, « il est primordial de soutenir nos hôpitaux wallons dans leurs programmes de modernisation et de rénovation Le modèle apporte une réponse à l’ensemble du secteur et des perspectives de diversification. Il ne coûte rien mais peut, au contraire, générer un bénéfice tant pour les finances wallonnes que pour la qualité de l’offre de soins sur les sites hospitaliers en faveur des patients. »
Le financement fédéral s’élevant à 90 % de l’investissement mais versé aux hôpitaux annuellement durant 33 ans, impose aux institutions de préfinancer ces investissements par emprunt. L’application de ce système a pour conséquence un affaiblissement de la structure bilantaire de l’hôpital et un accroissement de l’endettement. Ainsi, ce mécanisme de financement alternatif des infrastructures hospitalières a pour conséquences de dégrader le rating des institutions.
De plus, la crise économique et financière, ainsi que le resserrement des crédits bancaires, amènent certains hôpitaux à solliciter la Wallonie afin de garantir leurs emprunts, les institutions bancaires en faisant une condition d’octroi. C'est notamment le cas en ce qui concerne la banque européenne d'investissement (BEI).
A ce stade, une institution a déjà sollicité la Région wallonne pour le projet du CHC visant à rassembler 3 implantations sur un seul site (le montant à garantir est de l'ordre de 100 millions d'euros). D’autres projets sont attendus dans les prochains mois.
Tous ces projets ne solliciteront pas une garantie régionale, il convient toutefois d’assurer l’équité de traitement des dossiers et de ne pas limiter la capacité de la Wallonie à un seul dossier tout en convenant d’un volume raisonnable d’emprunts qui pourraient bénéficier du soutien régional.
La volonté est d’aboutir rapidement à une solution concrète et durable afin de soutenir l’ensemble du secteur hospitalier wallon face aux nombreux et importants investissements pour leurs infrastructures. La proposition de la Ministre Eliane Tillieux, validée par le Comité ministériel ce jeudi est une réponse qui pourra être rapidement activée pour le projet du CHC de Liège mais également pour tous les autres projets wallons qui solliciteront la Région.
La proposition est la suivante :
1. Octroi de la garantie régionale directe rémunérée au bénéfice des hôpitaux relevant des compétences de la Région wallonne, qui réalisent des investissements importants dans leurs infrastructures ;
2. Le plafond de garantie s'élève à 125 millions d'euros par an ;
3. Le projet doit être conforme au plan hospitalier wallon et à la règlementation en matière de normes et d'octroi de subventions destinées aux infrastructures et équipements hospitaliers ;
4. L’octroi de la garantie n’est pas inconditionnel. La garantie ne peut être octroyée que dans la mesure où il ressort de prévisions prudentes que les chances de succès financier du projet sont réelles. Ceci implique dès lors une analyse financière préalable, indépendante (plan d’entreprise, comptabilité, respect de ratio comptables…) et un suivi du plan financier de l’institution tout au long de la période garantie qui démontrent la capacité de remboursement de l’institution hospitalière par l'administration wallonne de la santé en associant la SRIW et la CIF pour leur expertise financière.
Pour la Ministre Eliane TILLIEUX, « il est primordial de soutenir nos hôpitaux wallons dans leurs programmes de modernisation et de rénovation Le modèle apporte une réponse à l’ensemble du secteur et des perspectives de diversification. Il ne coûte rien mais peut, au contraire, générer un bénéfice tant pour les finances wallonnes que pour la qualité de l’offre de soins sur les sites hospitaliers en faveur des patients. »
Le Québec en bonne position pour tirer profit de l’Accord économique avec l’UE
|
« Le nouveau contexte économique transatlantique qui se profile à la faveur de cet ambitieux accord engendrera d'importants bénéfices pour l'économie du Québec, qui repose largement sur les exportations. Il nous appartient, dès maintenant, de nous positionner auprès des décideurs et des entreprises européennes », a déclaré la première ministre.
La première ministre a pris la parole devant des milieux d'affaires belges et européens lors d'un déjeuner-conférence organisé par la Chambre de commerce Canada-Belgique-Luxembourg et l'European Business & Innovation Centre Network.
Secteurs d'excellence
Elle y a fait la promotion de l'expertise et des secteurs d'excellence québécois ainsi que de la Politique économique du Québec. La première ministre a appelé à un resserrement des relations économiques avec les pays européens.
Plus tôt en journée, elle a participé, en compagnie du ministre Jean-François Lisée, à une table ronde sur les relations économiques et les négociations Canada-Union européenne réunissant des experts et des représentants d'organisations d'affaires européennes et québécoises.
Pauline Marois s'est aussi entretenue avec le Commissaire européen au marché intérieur et aux services, Michel Barnier, de même qu'avec le directeur général du Commerce à la Commission européenne, Jean-Luc Demarty.
Dans l'après-midi la première ministre rencontrait le ministre-président du gouvernement flamand, Kris Peeters. Ils ont notamment discuté de la politique d'électrification des transports au Québec et des possibilités d'échanges entre entreprises québécoises et flamandes de mobilité durable.
La première ministre Pauline Marois reçue par M. Kris Peeters, ministre-président du gouvernement flamand.
(Crédit photo: Gouvernement flamand).
L'Europe constitue le deuxième marché d'exportation du Québec. Depuis dix ans, les exportations de marchandises vers l'Union européenne ont augmenté de 40 %, atteignant 7,5 G$, soit près de 12 % de l'ensemble des exportations du Québec.
Avec l'entrée en vigueur de l'Accord, on estime que le Québec bénéficiera de retombées d'environ 2,2 G$ par année, en termes de PIB, ainsi que de la création de 16 000 emplois.
Politique économique, Priorité emploi
Délégation générale du Québec à Bruxelles
Les grandes lignes de l'accord de gouvernement en Allemagne (CDU-CSU / SPD)
Deux mois après les
élections législatives, les Unions chrétiennes (CDU-CSU) et le Parti
social-démocrate (SPD) ont présenté mercredi à la presse leur accord de
coalition.
Ce pavé de 185 pages, intitulé Deutschlands Zukunft gestalten (Façonner
l’avenir de l’Allemagne), avait été bouclé quelques heures plus tôt au
terme de cinq semaines d’âpres négociations et d’une dernière séance
marathon de 17 heures.
Il
détaille le programme du futur gouvernement de Grande coalition :
création d’un salaire minimum, avancées sur les retraites et le travail
intérimaire, compromis sur l’octroi de la double nationalité et la
création d’un péage automobile, frein à la hausse des loyers, mise en
œuvre du tournant énergétique, politique budgétaire, politique
européenne
La
présentation du contenu de cet accord de coalition a suscité en
Allemagne des réactions contrastées. Les syndicats ont exprimé leur
satisfaction : ils se félicitent notamment des multiples mesures visant à
améliorer la situation des salariés. Le patronat, à l’inverse, s’est
déclaré déçu : il estime que les intérêts des entreprises avaient
rarement été aussi ignorés par un accord de coalition.
Salaire minimum
Comme
prévu, la création d’un salaire minimum, souhaitée par les trois partis
signataires, sera l’un des projets phares de la nouvelle coalition.
L’accord prévoit la création d’un salaire minimum légal de 8,50 euros de
l’heure au 1er janvier 2015. Selon la presse, quelque 5,6
millions de salariés, dont la rémunération n’atteint pas ce plancher,
seraient potentiellement concernés.
Dans
les faits, cependant, les branches dotées d’une convention tarifaire
représentative auront encore la possibilité, pendant les deux premières
années, de négocier un plancher salarial inférieur à 8,50 euros. À
partir de 2017, ce montant deviendra ensuite obligatoire sur tout le
territoire allemand. Les revalorisations successives du salaire minimum
seront arrêtées par une commission composée d’experts et de
représentants des partenaires sociaux.
L’accord
ouvre également d’autres perspectives d’amélioration pour les salariés,
en particulier pour les intérimaires. L’emploi d’un collaborateur par
le biais d’une société d’intérim sera limité à 18 mois, et la
rémunération de ce dernier devra être identique à celle d’un salarié
normal de l’entreprise au bout de neuf mois au maximum.
Retraites
D’autres
avancées sont prévues, dès l’année prochaine, en matière de retraites.
Le compromis trouvé a consisté à additionner les mesures proposées par
les signataires. Selon le vœu de la CDU-CSU, les mères de famille se
verront ainsi accorder l’équivalent de deux années de
cotisation par enfant né après 1992. Selon celui du SPD, les salariés
ayant cotisé 45 ans pourront prendre leur retraite dès 63 ans (au lieu
d’un peu plus de 65 aujourd’hui) à partir du 1er juillet
prochain. L’accord prévoit, par ailleurs, d’autres mesures
d’amélioration en faveur des employés à bas salaires et des titulaires
d’une pension d’invalidité.
Europe
En
matière européenne, la Grande coalition devrait plutôt s’inscrire dans
la continuité de la politique actuelle. L’accord ne prévoit aucune
mutualisation de la dette des pays de la zone euro : chaque pays restera
responsable de son désendettement. Toutefois, la future coalition
reprend également à son compte l’inflexion actuelle de la politique
européenne de l’Allemagne en faveur d’une politique de soutien plus
actif à la croissance et à l’emploi en Europe.
Au
niveau national, la future Grande coalition poursuivra le cap actuel du
désendettement. Elle financera, par ailleurs, de grands projets que
l’accord évalue à 23 milliards d’euros. Le chapitre budgétaire du
document, intitulé « Des finances solides », énumère les priorités en
détail : cinq milliards d’euros pour l’éducation et l’université, trois
milliards pour la recherche et développement, cinq milliards pour les
infrastructures de transport. Ces objectifs seront financés sans hausse
de la fiscalité.
Tournant énergétique
Parmi
les grands investissements des années à venir figurent aussi, bien sûr,
ceux qui sont liés à la mise en œuvre du tournant énergétique. Un
domaine dans lequel les investisseurs ont besoin d’une visibilité à long
terme, car ces infrastructures souvent lourdes (parcs éoliens, fermes
solaires, mais aussi centrales conventionnelles au charbon ou au gaz) se
construisent pour une durée de 30 à 40 ans. L’accord précise donc dans
quel cadre ils pourront agir : la coalition a pour objectif de
développer les énergies renouvelables afin qu’elles représentent 55 à 60
% de l’électricité consommée en Allemagne d’ici à 2030.
Double nationalité
Et
de l’autre, de la question de la double nationalité. Actuellement, les
enfants nés en Allemagne de parents étrangers ayant grandi sur le
territoire allemand doivent choisir entre la nationalité allemande et
leur nationalité d’origine à l’âge de 23 ans. L’accord prévoit de
supprimer cette obligation : les personnes concernées auront le droit de
conserver la double nationalité.
Enfin
deux autres grands sujets de controverse auront fait l’objet d’un
compromis entre les signataires de l’accord. Il s’agit, d’une part, de
la création d’un péage automobile sur les routes allemandes pour les
voitures immatriculées à l’étranger.
Composition du gouvernement : l’inconnue
Quant
à la répartition des portefeuilles ministériels, elle reste pour le
moment secrète. Selon la presse, huit ministères seraient dirigés par la
CDU, six par le SPD et quatre par la CSU. Mais la composition du
gouvernement ne sera rendue publique qu’après la consultation des
militants du SPD.
Pour
l’heure, seules les instances dirigeantes et les groupes parlementaires
des trois partis ont, à de larges majorités, validé l’accord.
Les
473 000 adhérents du SPD sont appelés à voter par correspondance d’ici
au 14 décembre pour approuver, ou non l’accord. La CDU, de son côté,
réunira un mini-congrès le 9 décembre.
Si l’accord est approuvé, Angela Merkel pourrait être réélue chancelière par le Bundestag, le 17 décembre prochain.
Le Management de Transition en pratique
Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie de la deuxième édition du Livre consacré au Management de Transition.
Joindre la communauté en ligne sur linkedin
Le management de transition joue un rôle majeur dans
la transformation des entreprises.
De fait, les dirigeants sont
amenés à faire face à des situations continues de changement rapide et multiples souvent inspirée des approches systémiques.
Les manager de transition doit souvent défendre et développer la compétitivité de l’entreprise et pour cela redresser,
réorganiser et améliorer la performance, diversifier le portefeuille
d’activités, lancer des projets…. La rapidité d’action est vitale si l’on veut
obtenir des résultats mesurables.
Ce n’est donc pas un hasard si le
management de transition s’impose de plus en plus comme la solution pertinente,
qui fait appel à des hommes et des
femmes rompus à l’exercice de ce métier singulier.
La synthèse rapide et complète
que nous présentent ici Gérard FOURNIER, Jean-Louis FIDRIC et Charles-Henri
RUSSON, vous permettra de comprendre les enjeux que peut représenter le
management de transition pour votre entreprise ou pour votre carrière.
Cette deuxième édition contient plus d'exemples de missions.
6eme Réforme de l'état : une étape importante passée
Présentation en quelques instants de la RTBF
6ème réforme de l’Etat Belge et Loi spéciale de financement
Quelles sont les conséquences de la future Loi spéciale de
financement (LSF) pour les budgets de la Wallonie et de la Fédération
Wallonie-Bruxelles ? En effet, la proposition de réforme de cette Loi,
qui organise le financement des entités fédérées, devrait s’appliquer,
pour les matières transférées, à partir des budgets 2015. La question
centrale est évidemment de savoir dans quel cadre budgétaire les entités
fédérées devront accueillir les compétences qui leur seront
transférées.
Dans ce contexte, le CESW vient de publier un dossier intitulé « 6ème réforme de l’Etat et Loi spéciale de financement : quels impacts pour les budgets de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ».
Rédigé par Philippe Boveroux, Economiste et Luc Simar, Secrétaire général adjoint, ce dossier est le résultat de projections budgétaires compte tenu de la future LSF.
Le dossier du CESW est disponible en fichier attaché ou peut être téléchargé via le site internet.
Dans ce contexte, le CESW vient de publier un dossier intitulé « 6ème réforme de l’Etat et Loi spéciale de financement : quels impacts pour les budgets de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ».
Rédigé par Philippe Boveroux, Economiste et Luc Simar, Secrétaire général adjoint, ce dossier est le résultat de projections budgétaires compte tenu de la future LSF.
Le dossier du CESW est disponible en fichier attaché ou peut être téléchargé via le site internet.
Inscription à :
Articles (Atom)