"Rééquipez vous complètement" pour le management du changement



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vos compétences en 

management du changement...


 
Vous managez des changements, vous êtes cadres, formateurs, consultants ou chefs de projet : faites reconnaitre votre expertise en conduite du changement, faites vous certifier IMCM !
  

Stage de certification IMCM

Paris - les 19, 20 et 21 mars 2014

Séminaire - référentiel - certification : 1400 €
au lieu 1800 € pour toute inscription avant le 1er mars
 

La certification IMCM est simple, rapide et vous permet de refaire le point efficacement sur vos connaissances de base. 
Les certifiés IMCM partagent un socle commun de principes et de compétences. Ils font simplement vérifier ces compétences par un tiers indépendant.  


Le référentiel IMCM

En 390 pages le référentiel IMCM couvre :
- les principales erreurs en conduite du changement
- le rôle, les leviers et les conditions de réussite pour le manager du changement

nous y analysons :
- six dimensions de changement
- douze modes et techniques de conduite de changement
- onze théories, approches ou modélisation de ce concept de changement

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Rejoindre une communauté de pratique

Être certifier IMCM, c'est aussi rejoindre une communauté de pratique de managers du changement un peu partout en francophonie.
C'est également avoir accès à un partage de connaissances et à une info-lettre sur la conduite du changement qui vous permettent sans cesse d'enrichir vos propres pratiques !



Le séminaire de Paris est animé par Charles-Henri RUSSON, un des co-fondateurs de la certification IMCM. > profil de Charles-Henri

Accord sur la garantie régionale pour les infrastructures hospitalières en Wallonie

Depuis 2008, les hôpitaux wallons se sont inscrits dans un vaste plan de modernisation de leurs sites. Ce plan d’investissement s’élève globalement à 1,6 milliard d’euros pour l’ensemble des institutions hospitalières wallonnes à l’horizon 2018. Si ces investissements sont subsidiés par le Fédéral et la Wallonie, les hôpitaux doivent recourir à l’emprunt bancaire afin de préfinancer les travaux.

Le financement fédéral s’élevant à 90 % de l’investissement mais versé aux hôpitaux annuellement durant 33 ans, impose aux institutions de préfinancer ces investissements par emprunt. L’application de ce système a pour conséquence un affaiblissement de la structure bilantaire de l’hôpital et un accroissement de l’endettement. Ainsi, ce mécanisme de financement alternatif des infrastructures hospitalières a pour conséquences de dégrader le rating des institutions.

De plus, la crise économique et financière, ainsi que le resserrement des crédits bancaires, amènent certains hôpitaux à solliciter la Wallonie afin de garantir leurs emprunts, les institutions bancaires en faisant une condition d’octroi. C'est notamment le cas en ce qui concerne la banque européenne d'investissement (BEI).

A ce stade, une institution a déjà sollicité la Région wallonne pour le projet du CHC visant à rassembler 3 implantations sur un seul site (le montant à garantir est de l'ordre de 100 millions d'euros). D’autres projets sont attendus dans les prochains mois.

Tous ces projets ne solliciteront pas une garantie régionale, il convient toutefois d’assurer l’équité de traitement des dossiers et de ne pas limiter la capacité de la Wallonie à un seul dossier tout en convenant d’un volume raisonnable d’emprunts qui pourraient bénéficier du soutien régional.

La volonté est d’aboutir rapidement à une solution concrète et durable afin de soutenir l’ensemble du secteur hospitalier wallon face aux nombreux et importants investissements pour leurs infrastructures. La proposition de la Ministre Eliane Tillieux, validée par le Comité ministériel ce jeudi est une réponse qui pourra être rapidement activée pour le projet du CHC de Liège mais également pour tous les autres projets wallons qui solliciteront la Région.

La proposition est la suivante :

1. Octroi de la garantie régionale directe rémunérée au bénéfice des hôpitaux relevant des compétences de la Région wallonne, qui réalisent des investissements importants dans leurs infrastructures ;

2. Le plafond de garantie s'élève à 125 millions d'euros par an ;

3. Le projet doit être conforme au plan hospitalier wallon et à la règlementation en matière de normes et d'octroi de subventions destinées aux infrastructures et équipements hospitaliers ;

4. L’octroi de la garantie n’est pas inconditionnel. La garantie ne peut être octroyée que dans la mesure où il ressort de prévisions prudentes que les chances de succès financier du projet sont réelles. Ceci implique dès lors une analyse financière préalable, indépendante (plan d’entreprise, comptabilité, respect de ratio comptables…)  et un suivi du plan financier de l’institution tout au long de la période garantie qui démontrent la capacité de remboursement de l’institution hospitalière par l'administration wallonne de la santé en associant la SRIW et la CIF pour leur expertise financière.

Pour la Ministre Eliane TILLIEUX, « il est primordial de soutenir nos hôpitaux wallons dans leurs programmes de modernisation et de rénovation Le modèle apporte une réponse à l’ensemble du secteur et des perspectives de diversification. Il ne coûte rien mais peut, au contraire, générer un bénéfice tant pour les finances wallonnes que pour la qualité de l’offre de soins sur les sites hospitaliers en faveur des patients. »

Le Québec en bonne position pour tirer profit de l’Accord économique avec l’UE




Mme Pauline Marois, première ministre du Québec, en conférence dans la salle du Trône du Palais des Académies de Bruxelles.<br>
(Crédit photo: DGQB)<br>
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De passage à Bruxelles le 16 décembre 2013, Pauline Marois, Premiere Ministre du Québec estime que le Québec est bien positionné pour tirer profit du futur Accord économique et commercial global entre le Canada et l'Union européenne.

« Le nouveau contexte économique transatlantique qui se profile à la faveur de cet ambitieux accord engendrera d'importants bénéfices pour l'économie du Québec, qui repose largement sur les exportations. Il nous appartient, dès maintenant, de nous positionner auprès des décideurs et des entreprises européennes », a déclaré la première ministre.

La première ministre a pris la parole devant des milieux d'affaires belges et européens lors d'un déjeuner-conférence organisé par la Chambre de commerce Canada-Belgique-Luxembourg et l'European Business & Innovation Centre Network.


Secteurs d'excellence

Elle y a fait la promotion de l'expertise et des secteurs d'excellence québécois ainsi que de la Politique économique du Québec. La première ministre a appelé à un resserrement des relations économiques avec les pays européens.

Plus tôt en journée, elle a participé, en compagnie du ministre Jean-François Lisée, à une table ronde sur les relations économiques et les négociations Canada-Union européenne réunissant des experts et des représentants d'organisations d'affaires européennes et québécoises.

Pauline Marois s'est aussi entretenue avec le Commissaire européen au marché intérieur et aux services, Michel Barnier, de même qu'avec le directeur général du Commerce à la Commission européenne, Jean-Luc Demarty.

Dans l'après-midi la première ministre rencontrait le ministre-président du gouvernement flamand, Kris Peeters. Ils ont notamment discuté de la politique d'électrification des transports au Québec et des possibilités d'échanges entre entreprises québécoises et flamandes de mobilité durable.

La première ministre Pauline Marois reçue par M. Kris Peeters, ministre-président du gouvernement flamand.
(Crédit photo: Gouvernement flamand).


L'Europe constitue le deuxième marché d'exportation du Québec. Depuis dix ans, les exportations de marchandises vers l'Union européenne ont augmenté de 40 %, atteignant 7,5 G$, soit près de 12 % de l'ensemble des exportations du Québec.



Avec l'entrée en vigueur de l'Accord, on estime que le Québec bénéficiera de retombées d'environ 2,2 G$ par année, en termes de PIB, ainsi que de la création de 16 000 emplois.



Politique économique, Priorité emploi
Délégation générale du Québec à Bruxelles

Les grandes lignes de l'accord de gouvernement en Allemagne (CDU-CSU / SPD)


Deux mois après les élections législatives, les Unions chrétiennes (CDU-CSU) et le Parti social-démocrate (SPD) ont présenté mercredi à la presse leur accord de coalition.
Ce pavé de 185 pages, intitulé Deutschlands Zukunft gestalten (Façonner l’avenir de l’Allemagne), avait été bouclé quelques heures plus tôt au terme de cinq semaines d’âpres négociations et d’une dernière séance marathon de 17 heures.

Il détaille le programme du futur gouvernement de Grande coalition : création d’un salaire minimum, avancées sur les retraites et le travail intérimaire, compromis sur l’octroi de la double nationalité et la création d’un péage automobile, frein à la hausse des loyers, mise en œuvre du tournant énergétique, politique budgétaire, politique européenne

La présentation du contenu de cet accord de coalition a suscité en Allemagne des réactions contrastées. Les syndicats ont exprimé leur satisfaction : ils se félicitent notamment des multiples mesures visant à améliorer la situation des salariés. Le patronat, à l’inverse, s’est déclaré déçu : il estime que les intérêts des entreprises avaient rarement été aussi ignorés par un accord de coalition.

Salaire minimum
Comme prévu, la création d’un salaire minimum, souhaitée par les trois partis signataires, sera l’un des projets phares de la nouvelle coalition. L’accord prévoit la création d’un salaire minimum légal de 8,50 euros de l’heure au 1er janvier 2015. Selon la presse, quelque 5,6 millions de salariés, dont la rémunération n’atteint pas ce plancher, seraient potentiellement concernés.
Dans les faits, cependant, les branches dotées d’une convention tarifaire représentative auront encore la possibilité, pendant les deux premières années, de négocier un plancher salarial inférieur à 8,50 euros. À partir de 2017, ce montant deviendra ensuite obligatoire sur tout le territoire allemand. Les revalorisations successives du salaire minimum seront arrêtées par une commission composée d’experts et de représentants des partenaires sociaux.
L’accord ouvre également d’autres perspectives d’amélioration pour les salariés, en particulier pour les intérimaires. L’emploi d’un collaborateur par le biais d’une société d’intérim sera limité à 18 mois, et la rémunération de ce dernier devra être identique à celle d’un salarié normal de l’entreprise au bout de neuf mois au maximum.

Retraites
D’autres avancées sont prévues, dès l’année prochaine, en matière de retraites. Le compromis trouvé a consisté à additionner les mesures proposées par les signataires. Selon le vœu de la CDU-CSU, les mères de famille se verront  ainsi accorder l’équivalent de deux années de cotisation par enfant né après 1992. Selon celui du SPD, les salariés ayant cotisé 45 ans pourront prendre leur retraite dès 63 ans (au lieu d’un peu plus de 65 aujourd’hui) à partir du 1er juillet prochain. L’accord prévoit, par ailleurs, d’autres mesures d’amélioration en faveur des employés à bas salaires et des titulaires d’une pension d’invalidité.

Europe
En matière européenne, la Grande coalition devrait plutôt s’inscrire dans la continuité de la politique actuelle. L’accord ne prévoit aucune mutualisation de la dette des pays de la zone euro : chaque pays restera responsable de son désendettement. Toutefois, la future coalition reprend également à son compte l’inflexion actuelle de la politique européenne de l’Allemagne en faveur d’une politique de soutien plus actif à la croissance et à l’emploi en Europe.
Au niveau national, la future Grande coalition poursuivra le cap actuel du désendettement. Elle financera, par ailleurs, de grands projets que l’accord évalue à 23 milliards d’euros. Le chapitre budgétaire du document, intitulé « Des finances solides », énumère les priorités en détail : cinq milliards d’euros pour l’éducation et l’université, trois milliards pour la recherche et développement, cinq milliards pour les infrastructures de transport. Ces objectifs seront financés sans hausse de la fiscalité.

Tournant énergétique
Parmi les grands investissements des années à venir figurent aussi, bien sûr, ceux qui sont liés à la mise en œuvre du tournant énergétique. Un domaine dans lequel les investisseurs ont besoin d’une visibilité à long terme, car ces infrastructures souvent lourdes (parcs éoliens, fermes solaires, mais aussi centrales conventionnelles au charbon ou au gaz) se construisent pour une durée de 30 à 40 ans. L’accord précise donc dans quel cadre ils pourront agir : la coalition a pour objectif de développer les énergies renouvelables afin qu’elles représentent 55 à 60 % de l’électricité consommée en Allemagne d’ici à 2030.

Double nationalité
Et de l’autre, de la question de la double nationalité. Actuellement, les enfants nés en Allemagne de parents étrangers ayant grandi sur le territoire allemand doivent choisir entre la nationalité allemande et leur nationalité d’origine à l’âge de 23 ans. L’accord prévoit de supprimer cette obligation : les personnes concernées auront le droit de conserver la double nationalité.
Enfin deux autres grands sujets de controverse auront fait l’objet d’un compromis entre les signataires de l’accord. Il s’agit, d’une part, de la création d’un péage automobile sur les routes allemandes pour les voitures immatriculées à l’étranger.

Composition du gouvernement : l’inconnue
Quant à la répartition des portefeuilles ministériels, elle reste pour le moment secrète. Selon la presse, huit ministères seraient dirigés par la CDU, six par le SPD et quatre par la CSU. Mais la composition du gouvernement ne sera rendue publique qu’après la consultation des militants du SPD.
Pour l’heure, seules les instances dirigeantes et les groupes parlementaires des trois partis ont, à de larges majorités, validé l’accord.
Les 473 000 adhérents du SPD sont appelés à voter par correspondance d’ici au 14 décembre pour approuver, ou non l’accord. La CDU, de son côté, réunira un mini-congrès le 9 décembre.

Si l’accord est approuvé, Angela Merkel pourrait être réélue chancelière par le Bundestag, le 17 décembre prochain.

Le Management de Transition en pratique

Nous avons le plaisir de vous annoncer la sortie de la deuxième édition du Livre  consacré au Management de Transition.

Le management de transition joue un rôle majeur dans la transformation des entreprises.

De fait, les dirigeants sont amenés à faire face à des situations continues de changement rapide et multiples souvent inspirée des approches systémiques. 
 
Les manager de transition doit  souvent défendre et développer la compétitivité de l’entreprise et pour cela redresser, réorganiser et améliorer la performance, diversifier le portefeuille d’activités, lancer des projets…. La rapidité d’action est vitale si l’on veut obtenir des résultats mesurables.

Ce n’est donc pas un hasard si le management de transition s’impose de plus en plus comme la solution pertinente, qui fait appel à des hommes et des  femmes rompus à l’exercice de ce métier singulier.

La synthèse rapide et complète que nous présentent ici Gérard FOURNIER, Jean-Louis FIDRIC et Charles-Henri RUSSON, vous permettra de comprendre les enjeux que peut représenter le management de transition pour votre entreprise ou pour votre carrière.

Cette deuxième édition contient plus d'exemples de missions.

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6eme Réforme de l'état : une étape importante passée

Présentation en quelques instants de la RTBF

6ème réforme de l’Etat Belge et Loi spéciale de financement

Quelles sont les conséquences de la future Loi spéciale de financement (LSF) pour les budgets de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ? En effet, la proposition de réforme de cette Loi, qui organise le financement des entités fédérées, devrait s’appliquer, pour les matières transférées, à partir des budgets 2015. La question centrale est évidemment de savoir dans quel cadre budgétaire les entités fédérées devront accueillir les compétences qui leur seront transférées.
Dans ce contexte, le CESW vient de publier un dossier intitulé « 6ème réforme de l’Etat et Loi spéciale de financement : quels impacts pour les budgets de la Wallonie et de la Fédération Wallonie-Bruxelles ».
Rédigé par Philippe Boveroux, Economiste et Luc Simar, Secrétaire général adjoint, ce dossier est le résultat de projections budgétaires compte tenu de la future LSF.
Le dossier du CESW est disponible en fichier attaché ou peut être téléchargé via le site internet.